ette étude utilise des analyses quantitatives et qualitatives ainsi qu’une étude approfondie de la littérature pour étudier le financement de l’action climat et les flux d’investissement en Afrique sub-saharienne. Il s’appuie sur les réponses de 600 personnes interrogées par le biais de questionnaires et d’entretiens téléphoniques, ainsi que sur une étude détaillée des documents politiques et des réglementations de différents pays. Elle fournit une « vue d’ensemble » du financement climatique sur le continent et examine les cadres et les obstacles structurels et institutionnels, ainsi que les stratégies novatrices visant à améliorer les flux financiers.
Les pays africains auront reçu, jusqu’en 2023, des dizaines de milliards de dollars de financement climatique provenant de diverses sources. L’étude identifie que les principaux obstacles au financement climatique sur le continent sont « les sources de financement limitées, les bureaucraties dans l’accès aux fonds, les intérêts corporatifs et politiques concurrents, le manque de capital humain, la planification sectorielle, le manque de technologie et d’information, et l’inadéquation entre le financement disponible et les besoins régionaux spécifiques ».
Parmi ses recommandations pour améliorer la situation :